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Le site de Fayama et CaptainDom

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K: Retour à la Martinique 05

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                         Novembre Décembre 2005
                           Le retour à la Martinique


        Voici arrivé le moment du retour vers la Martinique. Nous avons choisi de remonter par

les Grenadines. Ce n'est pas le plus pratique en partant de Margarita pour aller vers Grenade.
Car le vent et la mer viennent pratiquement de face. Le courant peut être fort d'est en ouest,
ce qui provoque une dérive importance.


Nav_Margarita_Grenade_2005 b.jpg
                    En principe les alizés soufflent de nord-est, vous voyez un peu...

        17 novembre : Nous sommes à Porlamar. Le mouillage est levé vers 17h15. Nous 

passons difficilement la Punta de la Ballena.
Nous avons l'impression que Margarita ne
disparaitra jamais dans le sillage. Il a fallu s'aider du moteur pour appuyer la GV. Nous
mettons 12h pour parcourir les malheureux 49 miles qui nous séparaient des Testigos.
Fayama est enfin mouillé le long de Testigo Grande juste en face de Isla Iguana. Nous 
nous reposons jusqu'au 20. La chasse est bonne, le poisson rempli notre assiette.


Testigos_retour_3.jpg
                                       Testigo Grande - Los Testigos - Venezuela

Testigos_retour_Poisson_peche.jpg
                    La peau, épaisse comme le cuir de vache peut être toxique

      20 novembre : 9h. C'est parti pour la plus récalcitrante des navigations. Je m'en doutais
mais jamais je n'aurais cru qu'elle serait aussi pénible. Au départ des Testigos vers Grenade,
le vent est sensiblement de face. Le courant est fort d'est en ouest. Ce qui oblige à tirer un
long bord au moteur face au vent suivi d'un demi-bord à la voile un peu plus nord. La
différence entre le cap compas et le cap vrai est de 50°, c'est énorme. Nous nous sommes
engagés dans une galère qui dure 27h et c'est épuisés que nous arrivons à St Georges à
Grenade. Je me jure de ne jamais réitérer l'expérience si cela est possible.


Baie_de_St_Georges.jpg
                                                  Baie de St Georges - Grenade

         21 novembre : Les formalités d'entrée sont accomplies à St Georges. Nous nous
informons et apprenons que nous pouvons faire la sortie à  Prickly Bay au sud, coté océan.
         22 novembre : le matin nous quittons St Georges pour Prickly Bay. Les formalités sont
liquidées en début d'aprés-midi, ce qui nous permet de rejoindre Clarkes Court Bay qui nous    
semble plus à l'abri de la houle.

 
Sud_Granade.jpg

        23 novembre : au petit matin, l'ancre touche le davier. Fayama s'élance pour remonter
l'arc Antillais. Première destination : Union. C'est une navigation d'un peu plus de 40 miles.
Le vent n'est pas fort et devient même nul vers 10h30. Ce qui nécessite l'emploi de notre
cher Perkins de 37 cv. Vers midi , un souffle se fait sentir. La voilure de route est établie.
Nous atteindrons difficilement la vitesse de 5 noeuds même lors des rafales de vent. 15h40
Eole est un farceur, il  s'amuse de nous et se met de nouveau en grève. Le moteur nous
permet d'atteindre le mouillage au nord-ouest de Petite Martinique sous un arc en ciel
sublime juste avant le crépuscule.


Approche_de_Petite_Martinique.jpg
                                                  Approche de Petite Martinique

Arc_en_ciel_Petite_Martinique.jpg

                  Un grain juste avant l'arrivée, nous dévoile l'emplacement du trésor

Mouillage Petite Martinique.jpg

                             Fayama seul voilier au mouillage de Petite Martinique

         24 novembre :  Nous devons quitter à regret ce bel endroit. Nous avons déclaré aux
autorités de Grenades que nous allions à Union. Au précédent passage, le douanier de Union
m'a laissé une désagréable impression. Très tôt, nous filons vers le mouillage de Clifton afin
d'accomplir les formalités. Ce douanier officie à l'aéroport tout proche. Je me présente, lui
tends mes papiers. Il prend son air le plus désagréable et me demande d'expliquer pourquoi
nous ne sommes pas venus d  coirectement. Je lui signale que nous approchions des îles, la
veille au crépuscule et que je ne voulais pas courir le risque de jeter Fayama sur les récifs. Il
continue à trouver cela "louche" et appelle une collègue, lui raconte l'histoire avec son air
hautain. Ca dure plus d'une heure. Il veut me faire payer à sa façon, cette nuit passée
"illégalement" ailleurs que sur son territoire. Après m'avoir bien fait végéter, il se décide à
donner le coup de tampon si chèrement attendu. Il résonne dans la salle comme le marteau
d'un juge, sur une clearance paraphé à contrecoeur. Il me laisse partir non sans m'avoir jeté
un dernier regard de mépris. La vie sans stress, la vie sans stress.... elle est bien bonne
celle-là. En sortant de là j'étais quand même bien énervé.

Union_vue_du_ciel.jpg
                               Union, la baie de Clifton et l'aéroport au sud-ouest

Union_Clifton.jpg

                  Haut-fond visible à l'eau turquoise et en arrière plan, Clifton - Union

           25 novembre : Nous quittons Clifton pour aller voir Petit St Vincent, un peu plus au
sud. J'écris ces lignes 6 ans après et pourtant je me rappelle de ce mouillage comme si
c'était hier. Fayama bien abrité au sud de l'île, son ancre crochée sur fond de sable. La
plage de sable blanc qui incite au farniente. Mais moi, le farniente, ce n'est pas mon truc.
Je chausse mes palmes, ajuste mon masque et pars nager. L'eau est un peu trouble, le sable
fin reste en suspension. J'aperçois ce qui me semble être un gros rocher. Une pensée
traverse mon esprit, ce rocher abrite peut-être de la vie. Elle est quand même bizarre cette
roche, seule au milieu de la langue de sable qui borde ce littoral. J'y suis, presque à la
toucher. Je tends le bras, ce que ma main touche n'est pas dur. La texture est spongieuse et
gluante. Le visage pratiquement collé, je découvre la chose: une énorme tête de requin.
Tranchée à l'arrière des ouïes, elle repose, gueule vers le haut comme si elle voulait
regagner la surface. Elle est énorme, j'essaie d'en mesurer la circonférence en la ceinturant
de mes bras. Je n'arrive pas à en faire le demi-tour. Je frémis à l'idée qu'un tel monstre ait
pu patrouiller dans ces eaux à la recherche d'une proie.


Petit_ST_Vincent.jpg
                    Sud de Petit St Vincent avec sa magnifique plage de sable blanc             

          26 novembre : Après un nettoyage de la coque sur toute la longueur de la flottaison,
nous partons pour l'île Mayreau. Nous atteignons Saline Bay au sud-ouest. L'eau est trouble,
le mouillage rouleur. Après déjeuner nous tentons notre chance à Salt Whistle bay. Elle est
petite cette baie, bien à l'abri. Trop de voiliers l'ont compris; il n'y a plus de place pour nous.
Nous continuons notre chemin jusqu'à Charlestown bay à Canouan. Le souvenir bien
présent
de l'escroquerie à la bouée à la descente en août nous pousse à ne passer qu'une
nuit à l'écart.


Mayreau_map.jpg
                                                  Les 2 mouillages de Mayreau

Mayreau.jpg
                             Mouillage de Saline Bay avec sa plage de sable blanc

       27 novembre : c'est dimanche. Un léger souffle tire Fayama depuis 9h15. Deux heures
plus tard Eole se met au repos complet. Ce sera pour la suite du parcours, une succession
d'allumages et de coupures du moteur. Il nous faut 8h pour avaler les 27 miles qui nous 

séparaient de Bequia. L'ancre tombe dans Admiralty Bay en fin d'après-midi. Il y a le
SEADREAM qui est mouillé aussi. C'est un superbe Yacht de croisière de luxe que nous
avons déjà rencontré dans les Antilles. Et puis arrive le CLUBMED II juste avant la nuit.


Paquebots_a_Bequia.jpg

          28 novembre : Nous nous reposons à Bequia. Ca fait du bien.
          29 novembre :
Nous quittons Bequia un peu après 7h pour remonter à St Vincent.
Notre destination est Chateaubelair bay. Mais auparavant nous devons nous arrêter à
Kingstown Harbour au sud pour  y accomplir les formalités. Fayama navigue au près serré
par vent faible, il ne dépassera pas 3,5 nœuds en vitesse de pointe. Heureusement, le sud
de St Vincent est proche de Bequia. Nous y sommes à 9h45, les formalités sont vite
expédiées. A 12h30 Fayama se dirige au moteur, faute de vent, vers Chateaubelair que
nous touchons 3h plus tard. J'ai un peu de temps av
ant le coucher du soleil et j'en profite
pour m'entrainer à l'apnée sur fond de 15m


St_Vincent.jpg
                    En haut, Chateaubelair, ci-dessus grain en approche de St Vincent

         30 novembre :
Il ne faut plus trainer en route, notre vol retour pour la métropole est
réservé pour mi-décembre. Une nouvelle fois, je quitte à regret cette baie qui me charme.
A 8h, l'ancre émerge à la surface, Fayama prend de l'erre .
Un gros dauphin solitaire surgit
et joue à l'étrave. Il vient
nous dire à sa façon que lui aussi regrette notre départ. Comme
les autres jours, Eole fait le mariole, va et vient, faisant gonfler ou battre les voiles. Les
marins d'antan devaient avoir une patience à toutes épreuves. Pour nous, c'est plus simple,
il suffit d'appuyer sur un bouton et le devoir
d'avancer revient à notre bon vieux Perkins.
11h30 :  Je commence à avoir faim, je ne suis pas le seul, le moulinet de traine se dévide
en émettant son cri strident. Je remonte une belle dorade coryphène mâle. Le voilà notre
repas, merci Neptune.
A 14h35 précise, la chaîne de mouillage s'allonge au fond du port de
Vieux Fort de St Lucie. Nous descendons
immédiatement pour liquider les formalités. S'en
suit une grande promenade afin de dégourdir les jambes.

         1er décembre : La dernière étape avant la Martinique, Rodney Bay au nord de
St Lucie. Le vent demeure égal à lui-même jouant à disparaître et à réapparaître. Je
commence à croire que le chant de notre Perkins lui est agréable mais que de temps à
autre, il aime écouter le bruissement des voiles que son léger souffle gonfle à nouveau.
Fayama doit batailler 6h40 pour arriver à bout des 30 petits miles. Bien entendu, nous ne
remercions pas Eole mais avons de la reconnaissance pour Neptune dont le coup de pouce
grâce au courant permet à Fayama de ne pas se déshonorer.


Petole_a_St_Lucie.jpg
                    Pétole complète, on laisse la GV au cas où Eole daignerait revenir.

Grain_au_coucher_du_soleil.jpg
                        Méchant grain vu de St Lucie sur fond de coucher de soleil.


          2 décembre : C'est la dernière navigation pour rejoindre la Martinique. Nous voulons
y être dans la journée, si possible dans la matinée. Tout dépendra du vent. Mais nous
mettons pas mal de chance de notre coté en levant le mouillage en pleine nuit. 2h45, que
c'est durrr, je me fais un "pti kawa" bien chaud , c'est mon petit rituel, je ne peux pas m'en
passer. Je me réveille doucement puis je monte sur le pont. Je hisse la grand-voile à 1 ris et
commence à lever le mouillage. A 3h35 Fayama prend de la vitesse, je lui ajoute le génois
puis la trinquette en double. Le vent n'est pas fort mais régulier, ca change. Au cours de la
matinée , il forcit et Fayama franchit les 6 noeuds. Il lui aura fallu tirer 3 bords au près serré
pour entrer fièrement dans la baie du Marin. A 11h, l'ancre est enfouie dans la vase. Nous
allons prestement accomplir les formalités de douanes.
          3 décembre : Nous sommes arrivés mais notre esprit est encore en voyage. Nous ne
voulons pas nous bloquer de suite au Marin. Aujourd'hui samedi, nous sortons de la baie
pour effectuer une séance de chasse au large de St Luce. J'attrape d'abords un poisson
d'une vingtaine de cm. Je n'arrive pas à le foudroyer du premier coup. Ces vibrations
attirent un prédateur... Par dessus mon épaule droite apparaît un très beau spécimen de
barracuda. Je pourrais presque le toucher. Il ne me craint pas, il est obnubilé par ma prise.
Il l'a désire ardemment au point de risquer sa vie. Je remonte, réarme le fusil dont j'ai ôté
la proie. Je la tiens de l'autre main. Quand je considère m'être bien ré-oxygéné, je retourne
vers le fond. Mr le gourmand n'est pas loin. Il n'avait aucunement l'intention d'abandonner
son futur repas. Je l'observe en regardant de coin, comme je l'ai lu dans mon livre
d'apprentissage. Il approche, je suis à environ 2 m du fond afin de pouvoir laisser
descendre mon leurre. Au moment ou je le lache, le barracuda accélère mais n'a pas le
temps d'y gouter, ma flèche le pique juste derrière l'ouïe. Il m'arrache le fusil des mains et
fuit mais se coince au milieu des roches du fond. Heureusement qu'ici le fond est plat, que
ce n'est pas un tombant, sinon adieu mon beau fusil neuf. Le bougre finira dans notre
assiette. Le soir, au mouillage de St Anne nous dégustons les premiers morceaux des 5,6 kg
pesés une fois dépecé.


Peche_barracuda_en_decembre.jpg
                                                  Une belle bête, n'est-il pas?

           5 décembre : Nous rentrons au Marin, il faut faire cadeau à Fayama d'une nouvelle
chaîne de mouillage avant de le laisser seul. Le soir nous prenons l'apéro avec Pierre et
Fanfan. Fayama est mouillé à proximité du chenal d'accès, la profondeur est d'environ 10m.
C'est un fond vaseux. Je cherche un endroit sûr pour le laisser. Pierre me conseille de venir
dans le fond où Phenix, son voilier, se repose.
          6 décembre : Le temps est beau, Fayama se balance retenu par 30m de chaîne.
J'attend de le bouger pour intervertir les lignes de mouillage. Il est donc toujours sur sa
vieille chaîne. La Martinique est en panne de bouteille de gaz 13kg. Il parait qu'elles sont
toutes parties en ré-épreuve. Ca donne le même résultat que la bataille du sucre, des
engueulades à n'en plus finir. Je paie une bouteille d'avance et réserve mon tour, mais pas
de délai assuré. Nous devons nous équiper d'un système Camping gaz pour pouvoir faire la
cuisine.
         7 décembre : Le gaz est livré à la station, je cours à en perdre haleine afin de ne pas
rater mon tour. C'est fait je repars avec mon gros bébé de 13kg.
         8 décembre : Un coup de vent est annoncé. Le soir, les rafales se font plus rageuses.
Je suis confiant mon Fayama est bien ancré, il tient.
         9 décembre : Aujourd'hui, la météo annonce des bourrasques à 40 noeuds. Nous
sommes en milieu de matinée, nous nous apprêtons à descendre à terre. Je reçois  un sms
de ma mère, je le lis, machinalement je jette un oeil par la vitre, rien ne bouge. Je
commence à rédiger la réponse quand soudain, je vois défiler le paysage en arrière. Je n'ai
pas le temps d'intervenir, Fayama est coincé en travers dans l'étrave d'un gros voilier
canadien. C'est une grosse galère pour l'en sortir en évitant d'endommager l'un ou l'autre
voilier. Le gros voilier canadien à une étrave majestueuse avec un bout dehors et une
sous-barbe digne d'un cargo. Il n'a même pas une rayure, juste une petite éraflure que j'irai
nettoyer par la suite. Mon pauvre Fayama n'est pas aussi chanceux, pour lui c'est 3 
chandeliers de pliés. Voici l'analyse que je fais à posteriori. J'ai manqué à tous mes devoirs
de capitaine. Le temps était beau à notre arrivée. Je pensais ne rester à cet endroit que très
peu de temps. Je n'avais
étalé que 30m de chaîne pour 10m de profondeur croyant la relever
rapidement afin de la changer par la neuve. Quand le mauvais temps à été annoncé, je n'ai
pas vérifié, pensant que comme à l'accoutumé j'avais étalé 45m. Greeeeeeee le vilain, je me
gifle. La vase a ceci de particulier, elle fait succion, avec un bon mouillage pas de soucis. Par
contre, si la longueur de chaine est trop courte, au moment d'une forte rafale, l'ancre va se
décoller avec sa gangue de vase. C'est une boule de glaise qui glisse sur le fond, que le
voilier tire sans pouvoir s'arrêter.

          10 décembre : Le départ est pour très bientôt. Cet incident de la veille me donne du
travail supplémentaire,3 chandeliers à redresser.
Nous décidons de sortir à St Anne pour y
effectuer les réparations. Auparavant, je tiens à chasser de nouveau du coté de St Luce.
Cette fois, la mer n'est pas dans son meilleur jour. La houle agite Fayama en surface tandis
que je me débats dans l'eau trouble à la recherche d'un poisson. Il faut abréger, c'est
insoutenable à bord, nous repartons bredouille. A St Anne, tout est calme, j'effectue les
réparations. Je prépare un 2e mouillage qui sera empennelé une fois trouvée la place de
repos pour Fayama. Jusqu'au 12 décembre, ce sera du travail pour le laisse propre, surtout
la carène. Ce 12 décembre en fin d'après-midi, nous rentrons au Marin définitivement.
Je n'ai plus rien de précis après le 13, date à laquelle, il n'est pas noté de choses
intéressantes. Nous laissons notre voilier, notre nouvelle vie, le coeur gros, en cette fin
d'année 2005. Nous nous en remettons au bon vouloir de la météo.

 
        Je vous donne rendez-vous dans le chapitre 2006 pour la suite des nouvelles
aventures de Fayama.



 

















              










































 




















              















 

























 


Date de création : 26/09/2011 00:20
Dernière modification : 01/11/2011 12:28
Catégorie : 2005
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